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French painter and lithographer born in 1907 in Paris 14th and died in 1997 in Paris 15th.
Artistic director in art publishing, advertising designer and bookplate designer, sharing it with a second workshop in the Château de Montgermont in Pringy. He signed his paintings in capital letters.
André Flament restores “a childhood without stories and of which there would be nothing to say except that it was entirely focused on drawing and painting”. He decided to devote his life to this vocation when, at the age of 13, he obtained the highest reward in the drawing competition opened by the City of Paris to the best students from all municipal schools. In 1921 he entered the Germaine-Pilon School of Applied Arts where his masters were Robert Wlérick in sculpture, Jules Chadel (1870-1942) in drawing and Pierre-Paul Montagnac (1883-1961) in decoration.
After a brief stint at the École nationale supérieure des beaux-arts in 1924, also after his temperament felt divided between Cubist temptation and the refocusing towards classicism favored by the advice of Pierre Laurens and André Favory, Marcel Chassard entered in the artistic department of the Draeger printing works in Montrouge in 1925. Returning there in 1929, the year he married Janine Schmidt, after two years of military service in the 34th aviation regiment of Le Bourget, to work there with artists like Jean Piaubert and Victor Vasarely, he assiduously attended evening classes at the Académie Colarossi where he received advice from Othon Friesz.
In 1933, the year of the birth of his daughter Colette, he was director of the journal Synthese. In order to illustrate bibliophilic publications, he produced his first lithographs at Fernand Mourlot. Then he became artistic and technical director of the magazine Le Jardin des modes in 1936. For Claude-Saulvy, if daily realities forced Marcel Chassard to practice a profession, he knew how to keep, from the ten years spent at Draeger, a contribution including his talent took advantage. And it is perhaps to the disciplines of layout and printing processes that he owes his qualities of balance and construction and also this calm and sure force which emanates from his canvases.
Mobilized in 1939, while his recent paintings evoke vacations in the Basque Country, Corrèze and Switzerland, Marcel Chassard is a reserve officer cadet. In 1942, he took courses at the Académie de la Grande Chaumière. His first meeting with Jean Jansem dates from 1945. In a lasting friendship, the two artists painted landscapes and nudes together, as well as, reciprocally, a portrait of one by the other.
If the year 1947 inaugurates a period of forty years of exhibitions, the post-war shows an artist always in search of deepening his knowledge, in particular through the approach of two masters who have nothing in common except fascinate him.
Sandro Botticelli, whom he really discovered in museums during a trip to Italy in 1947, and Lyonel Feininger in 1959.
Meanwhile, in 1957, he met Camille Hilaire whose monograph he edited with a text by Robert Rey.
Montgermont Castle in Pringy.
From this period, the painting of Marcel Chassard expresses the attraction of Seine-et-Marne.
Setting up a workshop in the Château de Montgermont in Pringy, he painted landscapes stretching from Moret-sur-Loing to Misy-sur-Yonne and participated in the annual exhibitions organized by Guy Isnard in Barbizon. If paintings from 1970 to 1987 still reflect some more distant vacations, Marcel Chassard shows through his last exhibition, in Paris in April 1991, that his real favorite theme, the one he always loved, was indeed the eternal feminine.
Peintre et lithographe français né en 1907 à Paris 14e et mort en 1997 à Paris 15e.
Directeur artistique dans l'édition d'art, dessinateur publicitaire et créateur d'ex-libris, le partageant avec un second atelier au château de Montgermont à Pringy. Il signait ses tableaux en lettres capitales.
André Flament restitue "une enfance sans histoires et dont il n'y aurait rien à dire si ce n'est qu'elle était entièrement tournée vers le dessin et la peinture". Il décide de consacrer sa vie à cette vocation lorsque, à l'âge de 13 ans, il obtient la plus haute récompense au concours de dessin ouvert par la Ville de Paris aux meilleurs élèves de toutes les écoles municipales. En 1921, il entre à l'école d'arts appliqués Germaine-Pilon où il a pour maîtres Robert Wlérick en sculpture, Jules Chadel (1870-1942) en dessin et Pierre-Paul Montagnac (1883-1961) en décoration.
Après un bref passage à l'École nationale supérieure des beaux-arts en 1924, alors que son tempérament se sent partagé entre la tentation cubiste et le recentrage vers le classicisme favorisé par les conseils de Pierre Laurens et d'André Favory, Marcel Chassard entre au service artistique de l'imprimerie Draeger à Montrouge en 1925. Revenu en 1929, année de son mariage avec Janine Schmidt, après deux ans de service militaire au 34e régiment d'aviation du Bourget, pour y travailler avec des artistes comme Jean Piaubert et Victor Vasarely, il suit assidûment les cours du soir de l'Académie Colarossi où il reçoit les conseils d'Othon Friesz.
En 1933, année de la naissance de sa fille Colette, il est directeur de la revue Synthèse. Pour illustrer les publications bibliophiliques, il réalise ses premières lithographies chez Fernand Mourlot. Puis il devient directeur artistique et technique de la revue Le Jardin des modes en 1936. Pour Claude-Saulvy, si les réalités quotidiennes ont contraint Marcel Chassard à exercer un métier, il a su garder, des dix années passées chez Draeger, un apport dont son talent a su tirer parti. Et c'est peut-être aux disciplines de la mise en page et des procédés d'impression qu'il doit ses qualités d'équilibre et de construction et aussi cette force calme et sûre qui émane de ses toiles.
Mobilisé en 1939, alors que ses peintures récentes évoquent des vacances au Pays Basque, en Corrèze et en Suisse, Marcel Chassard est élève officier de réserve. En 1942, il suit les cours de l'Académie de la Grande Chaumière. Sa première rencontre avec Jean Jansem date de 1945. Dans une amitié durable, les deux artistes peignent ensemble des paysages et des nus, ainsi que, réciproquement, un portrait de l'un par l'autre.
Si l'année 1947 inaugure une période de quarante ans d'expositions, l'après-guerre montre un artiste toujours en quête d'approfondissement, notamment par l'approche de deux maîtres qui n'ont rien en commun sinon de le fasciner.
Sandro Botticelli, qu'il découvre réellement dans les musées lors d'un voyage en Italie en 1947, et Lyonel Feininger en 1959.
Entre-temps, en 1957, il a rencontré Camille Hilaire dont il a édité la monographie avec un texte de Robert Rey.
Château de Montgermont à Pringy.
Dès cette époque, la peinture de Marcel Chassard exprime l'attrait de la Seine-et-Marne.
Installant un atelier au château de Montgermont à Pringy, il peint des paysages s'étendant de Moret-sur-Loing à Misy-sur-Yonne et participe aux expositions annuelles organisées par Guy Isnard à Barbizon. Si les tableaux des années 1970 à 1987 reflètent encore des vacances plus lointaines, Marcel Chassard montre à travers sa dernière exposition, à Paris en avril 1991, que son véritable thème de prédilection, celui qu'il a toujours aimé, est bien l'éternel féminin.
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