Oil painting on canvas. North European school of the nineteenth century. This suggestive night view with the full moon that illuminates a cemetery, dominated by the large crucifix on the left and with a bat that hops on the right, it is well inserted in that secular meditation on the theme of the cult of the dead e of the burial that since the mid -eighteenth century has passionate about Europe, giving rise to an elaboration of a modern conception of cemetery, with the recovery of a dignity -not a healthy -of this place. To this are added the romantic reflections on the man-natural relationship seen as the affirmation of the equivalent finiteness of the human being opposed to the infinity that surrounds him; We therefore arrive in painting to represent the tombs and cemeteries, symbols of finiteness and transience, always wrapped, almost surrounded by nature, sign of infinite, of life that continues. As in this work, where the lunar light, which pierces the clouds Del darkness, he restores clear and therefore life to the cemetery. The work, restored and restored, has small falls of color. It is presented in the frame of the late 1800s.
Peinture à l'huile sur toile. École nord-européenne du XIXème siècle. Cette suggestive vue nocturne avec la pleine lune qui illumine un cimetière, dominée par le grand crucifix à gauche et avec une chauve-souris qui sautille à droite, est bien insérée dans cette méditation séculaire sur le thème du culte des morts et de la sépulture qui depuis la moitié du XVIIIe siècle a passionné l'Europe, donnant lieu à l'élaboration d'une conception moderne du cimetière, avec la récupération d'une dignité -non saine- de ce lieu. A cela s'ajoutent les réflexions romantiques sur la relation homme-nature vue comme l'affirmation de l'équivalente finitude de l'être humain opposée à l'infini qui l'entoure ; Nous arrivons donc en peinture à représenter les tombes et les cimetières, symboles de finitude et de fugacité, toujours enveloppés, presque entourés de nature, signe d'infini, de vie qui continue. Comme dans cette œuvre, où la lumière lunaire, qui perce les nuages Del obscurité, il redonne clair et donc la vie au cimetière. L'œuvre, restaurée et restituée, présente de petites chutes de couleur. Elle est présentée dans le cadre de la fin des années 1800.
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