Oil on canvas (80 x 63 cm) depicting a landscape in Brittany, where he had set up his studio in 1960.
In 1958, he won the Prix Bastien-Lepage at the Salon des Artistes Français. Guillermet, a publisher in Villefranche sur Saône and friend of Colette and Utrillo, encouraged him to exhibit in Lyon at the Petersen gallery. The exhibition was a great success. That same year, L'Asile de Nuit de la rue aux Prêtres de Chalon was awarded the Prix de la Ville d'Aix-en-Provence by 300 painters from all over France5. Florence Gould bought the painting, which she hung next to Antoine Watteau and François Boucher, both of whom she collected6.
In 1960, the first reproduction of a work, Bidonville à Nanterre, was published by Nomis, who issued his works as postcards, collected by museums such as the Louvre. Raphaël Mischkind, a gallery owner in Lille, notices the work. He would follow Laporte throughout his career6.
Georges Laporte really discovered Brittany in the 1960s. The sea became his main theme. He set up a studio in Quiberon. Armand Lanoux observed the artist and spoke of gestural painting in reference to Georges Mathieu, with a parallel also drawn with Nicolas de Staël. The thick layers of material characteristic of his canvases appeared at this time7.
His painting evolved in the 1970s, and his seascapes became more accomplished. Armand Lanoux analyzes them as follows: "His landscapes have become more amiable and the color more lilting. There's a definite desire to finish the canvas, to push it further than in the past8".
Following the death of his wife Jeanine in 1979, Laporte began to travel extensively, taking his painting in a new direction.
In 1987, he travelled to Corsica, where he painted canvases that the Musée de Bastia presented in the "40 Grandes Œuvres Corses" exhibition in 19909.
from 1983 onwards, he was a regular visitor to Japan, and began a series of paintings of Japan10. The exhibitions that followed established his reputation11. Those held in spring 198811 attracted no fewer than 80,000 visitors12. Georges Laporte married Akiko Takao, first prize winner for piano at the Tokyo Conservatory, in 199113.
"Then Georges Laporte discovers Corsica... There, we realize that Laporte renounces the rules of traditional perspective; that he builds his space on a system of superimposed planes, a process that Othon Friesz used before him, but which he didn't take as far. Whether they originate in France or Japan, one senses that in his canvases, spirit now joins matter to accomplish what Charles Benharoum calls "the transmutation of elements to make them perceptible to the eye and to the touch "14.
Georges Laporte died in Paris on November 7, 2000.
rande huile sur toile (80 x 63 cm) représentant un paysage de Bretagne où il avait installé son atelier en 1960.
En 1958, il obtient le Prix Bastien-Lepage au Salon des artistes français. Guillermet, éditeur à Villefranche sur Saône et ami de Colette et Utrillo l'encourage à exposer à Lyon à la galerie Petersen. Ce sera un franc succès. Cette même année, L'Asile de Nuit de la rue aux Prêtres de Chalon obtient le Prix de la ville d'Aix-en-Provence devant 300 peintres venus de la France entière5. Florence Gould achète la toile qu'elle accroche à côté d'Antoine Watteau et François Boucher qu'elle collectionne6.
En 1960, a lieu la première reproduction d'une œuvre, Bidonville à Nanterre, aux éditions Nomis en publiant ses œuvres en cartes postales collectionnées par les musées comme au Louvre. Raphaël Mischkind, galeriste à Lille, remarque cette œuvre. Il suivra Laporte tout au long de sa carrière6.
Georges Laporte découvre véritablement la Bretagne dans les années 1960. La mer devient son thème principal. Il installe un atelier à Quiberon. Armand Lanoux observe l'artiste et parle alors de peinture gestuelle en référence à Georges Mathieu, un parallèle est également fait avec Nicolas de Staël. Les épaisseurs de matières caractéristiques de ses toiles apparaissent à cette époque7.
Sa peinture évolue dans les années 1970 et ses bords de mer sont plus aboutis. Armand Lanoux les analyse ainsi : « Ses paysages sont devenus plus aimables et la couleur plus chantante. La volonté de finir la toile, de pousser plus que naguère est certaine8. »
À la mort de son épouse Jeanine en 1979, il multiplie les voyages et sa peinture prend une nouvelle direction : Laporte renouvelle sa peinture et ses couleurs.
Il se rend en Corse dès 1987, y séjourne pour réaliser des toiles que le musée de Bastia présente dans l'exposition « 40 Grandes Œuvres Corses » en 19909.
Il affectionne le Japon qu'il visite régulièrement dès 1983 et entreprend une série de toiles du Japon10. Les expositions qui suivent consacrent sa notoriété11. Celles du printemps 198811 attirent pas moins de 80 000 visiteurs12. Georges Laporte épouse Akiko Takao, premier prix de piano du Conservatoire de Tokyo, en 199113.
« Puis Georges Laporte découvre la Corse... Là, on s'aperçoit que Laporte renonce aux règles de la perspective traditionnelle ; qu'il construit son espace sur un système de superpostions de plans, procédé qu'Othon Friesz avant lui utilisa mais qu'il ne mena pas aussi loin. Qu'elles aient pour origine la France ou le Japon, on sent que dans ses toiles désormais l'esprit rejoint la matière pour accomplir ce que Charles Benharoum appelle « la transmutation des éléments pour les rendre perceptibles à l’œil et au toucher »14. »
Georges Laporte meurt à Paris le 7 novembre 2000
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