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Costellazione is a beautiful mixed media contemporary artwork composed by ceramic insert, enamel and ingobe on panel realized in 2019 by the Italian artist, Michele Cossyro. In excellent condition, of square format and an important materials research with an excellent and elegant final result of massings representing the Fish Constellation, this is the perfect contemporary artwork for your home decor able to put you in a magic mood! Michele Cossyro Valenza was born in Pantelleria on 16 March 1944. He was a pupil of Pericle Fazzini at the School of Sculpture of the Accademia di Belle Arti in Rome. In the 60s he worked in high fashion and his jewellery was worn by the models of the Luigi Faraoni show in the Sala Bianca of Palazzo Pitti in Florence. In 1969 and 1971, signing his work first Michele Valenza, then Cossyro, he won the 2nd and 4th Italian competition for jewellery artists of Milan Il diamante nell’anello di fidanzamento (The diamond in engagement rings) and Diamanti oggi (Diamonds today), sponsored by De Beers Consolidated Mines Ltd. Since 1978 he has held the chair of Decoration in the Academies of Fine Arts in Catania, Urbino and Venice; since 1987 he has held the chair of Decoration at the Accademia di Belle Arti of L’Aquila, which he directed from 1987 to 1995. He taught Decoration at the Accademia di Belle Arti in Rome until 2011. In 2014 the Accademia di Belle Arti in Rome awarded him the title of: Emeritus Academic Master. He was a member of the CIMAE Committee for the Ministry of Foreign Affairs from 1990 to 1995 and is a technical consultant for the Ministry of Finance and the Italian State Mint. Since 1979 he has been the artistic director of La Salerniana in Erice. He lives and works in Rome. In his initial brief period of training and research, the artist explored a personal approach to abstraction, with vaguely Surrealfantastic references. A constant presence in paintings and sculptures from this period are light and steep planes hanging in the balance, expressing unease and social-ecological themes. The attention given to the ecology and culture of the Mediterranean, which has always been present in his work, is expressed and focused in the work of the seventies. It is for him that criticism invented the concept of Phenomenal abstraction, to explain his original research often expressed through Metaphor. The 1970s saw: metaphors of the sea, vertical stripes, hooks, hulls, corks, feathers, object works, settings, defragmentation, disseminations and installations, which he showed in the Galleria Cortina in Milan and in the Galleria Artivisive in Rome. Towards the end of the 70s, and for all of the 80s, always reflecting on space and the environment, Michele Cossyro further explored abstraction, always starting with Mediterranean emotions, memories and suggestions. In the early eighties he was among the founders of Narciso Art, and produced the series of corner paintings, in fact called ‘Narciso’. In this series he develops the idea of the madness of painting, like Narcissus, looking at himself and going mad. In these Parallel Worlds – Accordions, painted parts alternate with mirror sections. They are also aniconic works, in which phenomenal abstraction is joined by new decompositions, defragmentations and tricks of perception. He continues along these lines until the late 80s, when his exploration of these themes culminates in the series: Stellar Derivations on show in the Galleria dei Banchi Nuovi in Rome. Starting in 1989, he started work on the Nasse (lobster pot) series, which continued throughout the 90s. The Nasse are two-dimensional works, known as Pictosculptures, making use of the metaphors of the net, cage, capture, deception, and globalization. Also in the 90s he dedicates himself to public commissions and produces many large works of sculpture and mosaics throughout Italy. It is in fact to this period that the large works of sculpture, mosaics, stained glass, and ceramics are commissioned for public and private spaces and buildings. Since 2000, his artistic production has been directed mainly on sculpture, never forgotten, with the addition of two-dimensional signs. In the last decade, Michele Cossyro has used bronze and ceramics, with wall installations and placements that make Sculpture the accomplice of signs. The sculptural object placed on the wall interacts with the sign – a line drawing on the wall – and between the sculptural work and the sign, a new dialogue is established. The sculptural object and the sign, like a sinopite, makes the work lose its fixity and become an open work in progress according to the transformation of the sign. These two inseparable elements, line and sculpture, are at the basis of his work in recent years, and include Metaphors of Journey, Echoes from the Bottom, Abysses, Interspace and Black Holes. The works of Michele Cossyro are present in Italian and foreign museums, in public and private collections. Information on Cossyro’s work has been published from 1973 to the present. Over the course of his long career, he has taken part in the Rome Quadriennale (1975, 1986, 2005), the Venice Biennale (1984), the Milan Biennale (1989), Art Basel (1983) and the Biennale de Menton (1974). He has exhibited in over sixty solo exhibitions and in numerous collective exhibitions in Italy and abroad, and his works are to be found in important museums, public and private galleries and public spaces.
Costellazione est une belle œuvre d'art contemporain mixte composée d'un insert en céramique, d'un émail et d'un ingobe sur panneau réalisée en 2019 par l'artiste italien Michele Cossyro. En excellent état, de format carré et d'une importante recherche de matériaux avec un excellent et élégant résultat final de massages représentant la Constellation de poissons, c'est l'œuvre d'art contemporain parfaite pour votre décoration intérieure capable de vous mettre dans une ambiance magique ! Michele Cossyro Valenza est né à Pantelleria le 16 mars 1944. Il a été l'élève de Périclès Fazzini à l'école de sculpture de l'Accademia di Belle Arti à Rome. Dans les années 60, il travaille dans la haute couture et ses bijoux sont portés par les mannequins du spectacle de Luigi Faraoni dans la Sala Bianca du Palazzo Pitti à Florence. En 1969 et 1971, en signant ses œuvres d'abord Michele Valenza, puis Cossyro, il a remporté le 2e et le 4e concours italien pour les artistes joailliers de Milan Il diamante nell'anello di fidanzamento (Le diamant dans les bagues de fiançailles) et Diamanti oggi (Diamants aujourd'hui), parrainé par De Beers Consolidated Mines Ltd. Depuis 1978, il est titulaire de la chaire de décoration des académies des beaux-arts de Catane, Urbino et Venise ; depuis 1987, il est titulaire de la chaire de décoration de l'Accademia di Belle Arti de L'Aquila, qu'il a dirigée de 1987 à 1995. Il a enseigné la décoration à l'Accademia di Belle Arti de Rome jusqu'en 2011. En 2014, l'Accademia di Belle Arti de Rome lui a décerné le titre de : Maître académique émérite. Il a été membre du Comité CIMAE pour le Ministère des Affaires étrangères de 1990 à 1995 et est consultant technique pour le Ministère des Finances et la Monnaie d'Etat italienne. Depuis 1979, il est le directeur artistique de La Salerniana à Erice. Il vit et travaille à Rome. Au cours de sa brève période initiale de formation et de recherche, l'artiste a exploré une approche personnelle de l'abstraction, avec des références vaguement surréalistes. Une présence constante dans les peintures et sculptures de cette période sont des plans légers et raides qui pendent dans la balance, exprimant le malaise et des thèmes socio-écologiques. L'attention portée à l'écologie et à la culture de la Méditerranée, qui a toujours été présente dans son travail, s'exprime et se concentre dans l'œuvre des années soixante-dix. C'est pour lui que la critique a inventé le concept d'abstraction phénoménale, pour expliquer ses recherches originales souvent exprimées par la Métaphore. Les années 70 ont vu : des métaphores de la mer, des rayures verticales, des crochets, des coques, des bouchons, des plumes, des œuvres d'objets, des décors, des défragmentations, des disséminations et des installations, qu'il a montrées à la Galleria Cortina de Milan et à la Galleria Artivisive de Rome. Vers la fin des années 70, et pendant toutes les années 80, toujours en réfléchissant sur l'espace et l'environnement, Michele Cossyro a continué à explorer l'abstraction, en commençant toujours par les émotions, les souvenirs et les suggestions méditerranéennes. Au début des années 80, il a été l'un des fondateurs de Narciso Art, et a produit la série de peintures d'angle, appelée en fait "Narciso". Dans cette série, il développe l'idée de la folie de la peinture, comme Narcisse, qui se regarde et devient fou. Dans ces Mondes parallèles - Accordéons, les parties peintes alternent avec des sections en miroir. Ce sont également des œuvres aniconiques, dans lesquelles l'abstraction phénoménale est rejointe par de nouvelles décompositions, défragmentations et astuces de perception. Il poursuit dans cette voie jusqu'à la fin des années 80, où son exploration de ces thèmes culmine dans la série : Stellar Derivations, exposée à la Galleria dei Banchi Nuovi à Rome. À partir de 1989, il commence à travailler sur la série Nasse (casserole de homard), qui se poursuit tout au long des années 90. Les Nasse sont des œuvres bidimensionnelles, connues sous le nom de Pictosculptures, qui utilisent les métaphores du filet, de la cage, de la capture, de la tromperie et de la mondialisation. Toujours dans les années 90, il se consacre aux commandes publiques et produit de nombreuses grandes œuvres de sculpture et de mosaïques dans toute l'Italie. C'est en fait à cette période que les grandes œuvres de sculpture, de mosaïque, de vitrail et de céramique sont commandées pour des espaces et des bâtiments publics et privés. Depuis 2000, sa production artistique est principalement axée sur la sculpture, jamais oubliée, avec l'ajout de signes bidimensionnels. Au cours de la dernière décennie, Michele Cossyro a utilisé le bronze et la céramique, avec des installations murales et des placements qui font de la Sculpture la complice des signes. L'objet sculptural placé sur le mur interagit avec le signe - une ligne dessinée sur le mur - et entre l'œuvre sculpturale et le signe, un nouveau dialogue s'établit. L'objet sculptural et le signe, comme une sinopite, font perdre à l'œuvre sa fixité et deviennent une œuvre ouverte en cours selon la transformation du signe. Ces deux éléments inséparables, la ligne et la sculpture, sont à la base de son travail de ces dernières années, et comprennent les Métaphores de voyage, les Echos du fond, les Abîmes, l'Interspace et les Trous noirs. Les œuvres de Michele Cossyro sont présentes dans des musées italiens et étrangers, dans des collections publiques et privées. Des informations sur l'œuvre de Cossyro ont été publiées de 1973 à aujourd'hui. Au cours de sa longue carrière, il a participé à la Quadriennale de Rome (1975, 1986, 2005), à la Biennale de Venise (1984), à la Biennale de Milan (1989), à Art Basel (1983) et à la Biennale de Menton (1974). Il a participé à plus de soixante expositions individuelles et à de nombreuses expositions collectives en Italie et à l'étranger, et ses œuvres se trouvent dans d'importants musées, des galeries publiques et privées et des espaces publics.
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