Bonzes is a drypoint on Japon paper, etched on leather, made by Georges Ferdinand Bigot (Paris, 1860 - 1927). From Croquis Japonais, a print suite of 21 drypoints, a collection published at the author's expense in Tokyo in 1886. Titled on plate on the lower right margin, signed on plate on the lower left ''G. Bigot''. Overall very good conditions, except for some sporadic minor stains on the lower margin. In this modern art print, two bonzes are represented during a Buddhist religious ceremony. The black and gray palette is very broad. Bónzo, literally ''master of the cell'' or, according to others, bōshi, i.e. ''master of the law'', is the title given to religious men who have completed their formation. The term Buddhist monk appears for the first time in the West, in a letter written by St. Francesco Saverio in 1549. This artwork is shipped from Italy. Under existing legislation, any artwork in Italy created over 70 years ago by an artist who has died requires a licence for export regardless of the work’s market price. The shipping may require additional handling days to require the licence according to the final destination of the artwork.
Bonzes est une pointe sèche sur papier Japon, gravée sur du cuir, réalisée par Georges Ferdinand Bigot (Paris, 1860 - 1927). De Croquis Japonais, une suite de 21 pointes sèches, un recueil publié aux frais de l'auteur à Tokyo en 1886. Titré sur plaque dans la marge inférieure droite, signé sur plaque dans la marge inférieure gauche ''G. Bigot''. Très bon état général, à l'exception de quelques petites taches sporadiques dans la marge inférieure. Dans cette épreuve d'art moderne, deux bonzes sont représentés lors d'une cérémonie religieuse bouddhiste. La palette de noir et de gris est très large. Bónzo, littéralement "maître de la cellule" ou, selon d'autres, bōshi, c'est-à-dire "maître de la loi", est le titre donné aux religieux qui ont achevé leur formation. Le terme de moine bouddhiste apparaît pour la première fois en Occident, dans une lettre écrite par saint Francesco Saverio en 1549. Cette œuvre d'art est expédiée d'Italie. En vertu de la législation en vigueur, toute œuvre d'art créée en Italie il y a plus de 70 ans par un artiste décédé nécessite une licence d'exportation, quel que soit le prix du marché de l'œuvre. L'expédition peut nécessiter des jours de manutention supplémentaires pour obtenir la licence en fonction de la destination finale de l'œuvre d'art.
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