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The custody is as barbarous as the crime (Tan barbara la seguridad como el delito) is an artwork realied by Francisco Goya y Lucientes, 1867. Paris: Delâtre, 1867. Etching and burin. cm. 10.5x8.4.Sheet 21x16.2. Excellent proof of III state and first edition after the appearance of the letter and the bevel of the plate, published in the Gazette des Beau-Arts, vol. XXII, p. 196. Ref. Harris 26 Intact sheet with wide margins. Slight exposure yellowing around image. Francisco José de Goya y Lucientes (Fuendetodos, March 30, 1746 - Bordeaux, April 16, 1828) was a Spanish painter and engraver. Considered the pioneer of modern art, he was one of the greatest Spanish painters who lived between the late eighteenth and early nineteenth centuries. His paintings, drawings and etchings of him reflected the ongoing historical upheavals and influenced the most important contemporary and following century painters. Goya is often referred to as the last of the old masters and the first of the moderns. Born into a middle-class family in 1746 in Aragon, he was a pupil of painting from the age of 14 to José Luzán y Martínez, later moving to Madrid to study with Anton Raphael Mengs. In 1786 he became court painter to the Spanish crown and this first part of his career was characterized by numerous portraits of members of the Spanish aristocracy and royal family, as well as by the production of rococo tapestries for the royal palace. In 1793 he suffered from an undiagnosed serious illness which left him deaf, after which his work became progressively darker and more pessimistic. His subsequent paintings seem to reflect a bleak vision of existence, which contrasts with his resounding social ascent: in 1799, in fact, he became Primer Pintor de Cámara (First Court Painter), the highest rank for a Spanish court painter . In late 1799, commissioned by Godoy, he completed his Maja desnuda, a remarkably bold nude for the time and clearly inspired by the style of Diego Velázquez. In the early 19th century he painted The Family of Charles IV, again influenced by Velázquez. In 1807, Napoleon led the Grand Army in the Peninsular War against Spain. During the conflict Goya remained in Madrid and, although he never expressed his thoughts in public, it seems that these facts affected him deeply, as can be seen from some of his works such as The Disasters of War, The 2nd of May 1808, The 3rd May 1808. Other works of his maturity include a wide variety of paintings concerning madness, asylums, witches, fantastic creatures, and religious and political corruption, which suggest that he feared for his mental and physical health. His later period culminates with the Black Paintings of 1819-1823, made in the Quinta del Sordo, his home on the outskirts of Madrid where he lived, disillusioned by political and social developments in Spain, in a situation of almost isolation. Finally, in 1824, Goya decided to abandon Spain to retire to the French city of Bordeaux where he completed his series La Tauromaquia and a number of other important canvases. Towards the end of his life a stroke left him paralyzed on his right side. He died and was buried on April 16, 1828 at the age of 82. His body was later transferred to the Church of San Antonio de Florida in Madrid.
La garde est aussi barbare que le crime (Tan barbara la seguridad como el delito) est une œuvre d'art réalisée par Francisco Goya y Lucientes, 1867. Paris : Delâtre, 1867. Gravure et burin. cm. 10.5x8.4.feuille 21x16.2. Excellente épreuve de l'état III et de la première édition d'après l'apparition de la lettre et le biseau de la planche, publiée dans la Gazette des Beau-Arts, vol. XXII, p. 196. Ref. Harris 26 Feuille intacte avec de grandes marges. Léger jaunissement d'exposition autour de l'image. Francisco José de Goya y Lucientes (Fuendetodos, 30 mars 1746 - Bordeaux, 16 avril 1828) était un peintre et graveur espagnol. Considéré comme le pionnier de l'art moderne, il est l'un des plus grands peintres espagnols ayant vécu entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Ses peintures, dessins et gravures reflètent les bouleversements historiques en cours et ont influencé les plus importants peintres contemporains et du siècle suivant. Goya est souvent considéré comme le dernier des vieux maîtres et le premier des modernes. Né en 1746 en Aragon dans une famille de la classe moyenne, il est élève de José Luzán y Martínez dès l'âge de 14 ans, puis part étudier à Madrid avec Anton Raphael Mengs. En 1786, il devient peintre de la cour d'Espagne et cette première partie de sa carrière se caractérise par de nombreux portraits de membres de l'aristocratie espagnole et de la famille royale, ainsi que par la production de tapisseries rococo pour le palais royal. En 1793, il souffre d'une grave maladie non diagnostiquée qui le laisse sourd, après quoi son œuvre devient progressivement plus sombre et plus pessimiste. Ses peintures ultérieures semblent refléter une vision sombre de l'existence, qui contraste avec son ascension sociale retentissante : en 1799, en effet, il devient Primer Pintor de Cámara (premier peintre de la cour), le rang le plus élevé pour un peintre de la cour d'Espagne. À la fin de l'année 1799, à la demande de Godoy, il achève sa Maja desnuda, un nu remarquablement audacieux pour l'époque et clairement inspiré par le style de Diego Velázquez. Au début du XIXe siècle, il peint La famille de Charles IV, toujours sous l'influence de Vélasquez. En 1807, Napoléon mène la Grande Armée dans la guerre péninsulaire contre l'Espagne. Pendant le conflit, Goya reste à Madrid et, bien qu'il n'ait jamais exprimé ses pensées en public, il semble que ces faits l'aient profondément affecté, comme en témoignent certaines de ses œuvres telles que Les désastres de la guerre, Le 2 mai 1808, Le 3 mai 1808. D'autres œuvres de sa maturité comprennent une grande variété de peintures concernant la folie, les asiles, les sorcières, les créatures fantastiques et la corruption religieuse et politique, qui suggèrent qu'il craignait pour sa santé mentale et physique. Sa dernière période culmine avec les Peintures noires de 1819-1823, réalisées dans la Quinta del Sordo, sa maison située à la périphérie de Madrid où il vivait, désillusionné par l'évolution politique et sociale de l'Espagne, dans une situation de quasi-isolement. Finalement, en 1824, Goya décida d'abandonner l'Espagne pour se retirer dans la ville française de Bordeaux où il acheva sa série La Tauromaquia et un certain nombre d'autres toiles importantes. Vers la fin de sa vie, une attaque cérébrale le laisse paralysé du côté droit. Il meurt et est enterré le 16 avril 1828 à l'âge de 82 ans. Son corps a ensuite été transféré dans l'église San Antonio de Florida à Madrid.
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