Les Marais 1880s is an original drawing in etching technique on paper, realized and by Maillart, a French engraver and sculptor after Theodore Rousseau (1812-1867). Les Marais, as it is reported on the lower center margin, this is an original drawing representing a landscape. In excellent conditions: as good as new. Image container: 35 x 32 cm Theodore Rousseau (1812-1867): Painter (Paris 1812 - Barbizon 1867). Basically self-taught, even if J. Constable's example must have deeply impressed him, from the beginning he set about painting directly in front of nature, with lyrical enthusiasm and great moral commitment. Rejecting one of his paintings at the Salon of 1836 (The descent of the cows from the Jura plateaus, 1835, The Hague, Mesdag Museum), he retired to Barbizon, near Fontainebleau, where a colony of artists gathered with him who were to form the major French romantic school of landscape, called Barbizon. R. is considered the leader for the seriousness and consistency of the assumptions and for the height of the implementations. After 1848, when the opportunity to exhibit at the Salon reopened, it quickly established itself and was a resounding success at the Universal Exhibition of 1855. He especially loved portraying large trees, in mass, in flat and marshy soils from distant horizons, using a heavy color , dense and fiery, worked by brush (Avenue of the chestnut trees near Bressuire, 1837-40; Effect of rain, both in the Louvre; The footbridge, around 1855; Road in the forest of Fontainebleau; effect of hurricane, 1860-65, both in Paris , Musée d'Orsay).
Les Marais 1880 est un dessin original en technique de gravure sur papier, réalisé et par Maillart, un graveur et sculpteur français d'après Théodore Rousseau (1812-1867). Les Marais, comme il est indiqué dans la marge centrale inférieure, est un dessin original représentant un paysage. Dans d'excellentes conditions : comme neuf. Conteneur d'images : 35 x 32 cm Théodore Rousseau (1812-1867) : Peintre (Paris 1812 - Barbizon 1867). Fondamentalement autodidacte, même si l'exemple de J. Constable a dû l'impressionner profondément, il s'est mis dès le début à peindre directement devant la nature, avec un enthousiasme lyrique et un grand engagement moral. Rejetant un de ses tableaux au Salon de 1836 (La descente des vaches des plateaux du Jura, 1835, La Haye, Musée Mesdag), il se retire à Barbizon, près de Fontainebleau, où se réunit une colonie d'artistes qui formeront avec lui la grande école romantique française du paysage, appelée Barbizon. R. est considéré comme le chef de file pour le sérieux et la cohérence des hypothèses et pour la hauteur des mises en œuvre. Après 1848, lorsque l'occasion d'exposer au Salon se présente à nouveau, il s'impose rapidement et connaît un succès retentissant à l'Exposition universelle de 1855. Il aimait surtout représenter de grands arbres, en masse, sur des sols plats et marécageux d'horizons lointains, à l'aide d'une couleur lourde, dense et ardente, travaillée par le pinceau (Avenue des châtaigniers près de Bressuire, 1837-40 ; Effet de la pluie, tous deux au Louvre ; La passerelle, vers 1855 ; Route dans la forêt de Fontainebleau ; Effet de l'ouragan, 1860-65, tous deux à Paris, Musée d'Orsay).
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