Etching on cream paper, copper plate, 4th final state of four. Titled on lower left, hand signed in pencil and dated on lower right by the artist. A signature on plate, hard to read, in small letters on the back of a figure at the bottom right. A second signature on plate in small letters is engraved with drypoint on the base of the colonnade and erased. In very good conditions. Passepartout included: 39.5 x 59.3 cm. Image dimensions: 18 x 23.7 cm As Taevernier reports: ''Delteil mentions three states, Croquez only two. The 1929 exhibition catalogue lists three states. The copper plate has been very slightly bitten and as a result the town seems to be flooded with a dazzling light.'' References: A. Taevernier, Graphic works of James Ensor, 1973, Pl. T. 33 p. 93, Tavernier 33. James Ensor (Belgium, 1860-1949). A forerunner of 20th-century Expressionism and one of the major figures of the Belgian avant-garde in the late 19th century, James Ensor was a visionary, mystic, allegoric, and anarchic artist who loved exploring religious subject matters, political satire, and carnivalesque imagery (surely one of his sources of ispiration was his family’s souvenir emporium that sold grotesque carnival masks). Harsh colors and thick layers distinguish his style. His masterpiece is Christ’s Entry into Brussels (1889), a satiric artwork set in contemporary Belgium that incorporated his trademark style. As a very prolific artist who produced more than 900 moil paintings, 4000 drawings, and 133 etchings, he was a misunderstood genius, admired by artists like Paul Klee, Emil Nolde, Ernst Ludwig Kirchner. He was a founder and leader of Les Vingt (The Twenty), a group whose goal was to promote new artistic developments in Europe. This artwork is shipped from Italy. Under existing legislation, any artwork in Italy created over 70 years ago by an artist who has died requires a licence for export regardless of the work’s market price. The shipping may require additional handling days to require the licence according to the final destination of the artwork.
Gravure sur papier crème, plaque de cuivre, 4e état final de quatre. Titrée en bas à gauche, signée au crayon à la main et datée en bas à droite par l'artiste. Une signature sur plaque, difficile à lire, en petites lettres au dos d'un personnage en bas à droite. Une deuxième signature sur plaque en petites lettres est gravée à la pointe sèche sur la base de la colonnade et effacée. Dans de très bonnes conditions. Passepartout inclus : 39.5 x 59,3 cm. Dimensions de l'image : 18 x 23,7 cm Comme le rapporte Taevernier : "Delteil mentionne trois états, Croquez seulement deux. Le catalogue de l'exposition de 1929 mentionne trois états. La plaque de cuivre a été très légèrement mordue et la ville semble ainsi inondée d'une lumière éblouissante" Références : A. Taevernier, Œuvres graphiques de James Ensor, 1973, Pl. T. 33 p. 93, Tavernier 33. James Ensor (Belgique, 1860-1949). Précurseur de l'expressionnisme du XXe siècle et l'une des figures majeures de l'avant-garde belge de la fin du XIXe siècle, James Ensor était un artiste visionnaire, mystique, allégorique et anarchiste qui aimait explorer les sujets religieux, la satire politique et l'imagerie carnavalesque (l'une de ses sources d'inspiration était certainement le magasin de souvenirs de sa famille qui vendait des masques de carnaval grotesques). Des couleurs dures et des couches épaisses distinguent son style. Son chef-d'œuvre est l'Entrée du Christ à Bruxelles (1889), une œuvre satirique située dans la Belgique contemporaine qui intègre son style caractéristique. Artiste très prolifique qui a produit plus de 900 peintures de moines, 4000 dessins et 133 gravures, il était un génie méconnu, admiré par des artistes comme Paul Klee, Emil Nolde, Ernst Ludwig Kirchner. Il a été l'un des fondateurs et dirigeants des Vingt (The Twenty), un groupe dont le but était de promouvoir de nouveaux développements artistiques en Europe. Cette œuvre d'art est expédiée d'Italie. En vertu de la législation en vigueur, toute œuvre d'art créée en Italie il y a plus de 70 ans par un artiste décédé nécessite une licence d'exportation, quel que soit le prix du marché de l'œuvre. L'expédition peut nécessiter des jours de manutention supplémentaires pour obtenir la licence en fonction de la destination finale de l'œuvre d'art.
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